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  • Lycan Neutre
    Christian Sauber
    Christian Sauber
    Messages : 2
    Dollars : 2179
    Date d'inscription : 23/05/2021
    Lycan Neutre
    Tu n’as rien à craindre, tu n’as plus rien à perdre.
    Christian Sauber
    mon physique
    A son entrée à l'âge adulte à son époque, on pouvait le décrire comme culminant à un bon mètre quatre-vingt. Maintenant ce n'est pas par sa hauteur qu'il peut se démarquer, mais à la largeur de ses épaules et de ses bras. Ou encore, par son air antipathique au regard sévère souvent marqué par des cernes ou un apparent agacement perpétuel. Sa mâchoire aux lignes acérées, sa chevelure souvent coupée très court ne laissent pas imaginer un homme extravagant, tout comme ses tenues on ne peut plus simplistes de la vie de tous les jours. On devine cependant très facilement son physique puissant entretenu par un entraînement discipliné quotidien.
    Les quelques personnes qui auront l'occasion de le voir sans son haut remarqueront rapidement le tatouage particulier qu'il porte sur l'épaule. Un dessin biomécanique, représentant une sorte de muscle cybernétique tout en fibre de carbone couvrant la pointe de la clavicule, son trapèze et la naissance de son biceps. Une création à laquelle il tient particulièrement et qu'il a l'intention d'agrandir avec le temps. Et surtout l'argent.
    Viendra ensuite la vision des quelques cicatrices brunes, résorbées pour la plupart mais laissant imaginer des blessures assez graves par le passé pour peu qu'on connaisse sa nature. Chaque cicatrice encore présente sur son corps raconte une histoire, qu'il garde consciencieusement en mémoire.

    Sa nature justement, ses formes animales peuvent paraître assez particulières pour ceux de son espèce. Ce n'est pas par la hauteur de son garrot qu'il sera le plus imposant mais par l'épaisseur de sa carrure, particulièrement trapue et robuste. Sa fourrure est d'autant plus impressionnante, noire aux quelques reflets bruns sous une forte lumière, qu'elle le transforme en énorme masse d'obscurité ponctuée de deux yeux brillants d'ambre.
    mon caractère
    En dépit de ses airs distant et inatteignable, Chris se laisse approcher facilement par ceux qui daignent lui parler. Il peut même paraître sympathique si une conversation s'engage sur de bonnes bases, tout comme il sait se montrer acerbe voire même abject quand il se sent pris de haut par son interlocuteur. Il sait parfaitement quand retenir ou ne pas retenir sa langue, bien qu'il se montre toujours direct dans ses mots. A quelques exceptions près.
    Chris ne va s'autoriser que très peu d'attaches réelles. Il sera amical avec un peu tout le monde qui daigne montrer un peu de respect envers lui, mais ne va jamais considérer ceux-ci comme des proches. Il en a perdu le goût et l'envie, et s'est longtemps muré dans une solitude profonde malgré son entourage de tous les jours. Le professionnel reste le professionnel, les autres habitués de son bar favori, aucune de ces personnes ne sauraient être considérées comme amies à ses yeux. De bonnes connaissances, rien de plus.
    Soyez prudents cependant, il n'aura aucun mal à presser la détente ou faire claquer ses mâchoires sur votre tête si vous représentez une quelconque menace pour lui.

    x Dîtes nous en plus sur ses compétences personnelles : Chris est un excellent tireur, que ce soit au fusil ou au pistolet. Il est aussi plus qu'à l'aise dans le combat au corps à corps. Ses qualités physiques générales sont largement au dessus de la moyenne, son gabarit n'étant pas pour la décoration. C'est aussi un fin pisteur, que ce soit en forêt ou en zone urbaine.

    x Exprimez nous son point de vue concernant la dernière guerre : Toujours résolument neutre face aux tensions entre races. Il est pour l'entente entre tous; après tout, les connards n'ont pas de race. Mais s'il doit se retrouver forcé de choisir un camp, ce sera les surnaturels.
    mon histoire
    Aussi loin qu’il se souvienne, Chris a grandi sous le nom de Karl dans un orphelinat perdu dans une forêt de Westphalie à la fin du XIXe siècle. Un orphelinat qui accueillait bien peu d’enfants, à l’inverse de la plupart des autres du pays ; Karl venait d’ailleurs d’un de ces orphelinats plus classiques vers ses cinq ans, et avait souvenir d’un endroit bien plus chargé en petites têtes blondes. Dans celui-ci, ils n’étaient que sept enfants, deux en « bas-âge » comme lui, et surtout des adolescents et un jeune adulte.
    Ce n’est que lors des premiers signes d’une agitation de sa part, vers ses treize ans, que Holt lui révéla ce qu’il était, et quelles étaient les raisons de l’isolement de son foyer d’accueil. Tous, ici présents, étaient des hommes-loup, lui compris ; et Holt se chargeait d’apprendre les rouages de la vie en tant que tel, dans un monde majoritairement peuplé d’humains normaux. Ce qu’il est bon et sage, et juste de faire, ce qu’il faut avant tout éviter pour voir l’espèce perdurer. Karl commença alors un long apprentissage de nombreuses années, avant de lui aussi devenir adulte.
    Au grand désarroi du Père Holt, Karl choisit de rester à l’orphelinat une fois devenu adulte et maître de sa transformation. Son vieux maître lui savait un talent pour les études grâce à son esprit vif, mais savait que son tempérament parfois enfantin et capricieux le garderait de se forcer outre mesure s’il n’en avait pas envie. Et puis, le jeune homme s’était entiché de cette vie simple, où à son tour il pouvait aider ses semblables à devenir loups, à apprendre à se maîtriser aussi bien que lui s’y dévouait.

    Quelques décennies plus tard, tout avait changé pour le pire. L’Allemagne s’était engagée dans un conflit qui commençait à durement l’appauvrir, et qui finissait de la détruire. L’orphelinat recevait plus d’enfants de jours en jours qu’ils ne pouvaient en accueillir. La forêt elle, n’était plus sûre. Nombre de prisonniers de guerre s’y affairaient, et en arrachaient tout le bois pour en faire du charbon, et des crosses de fusils. Cette colline perchée d’où on pouvait apercevoir une mer verte tout aux alentours jusqu’à l’horizon, ne surplombait presque plus que des plaines tachetées. Puis vinrent des envoyés du gouvernement, requérant l’engagement immédiat de tous les hommes, et même des enfants dès lors qu’ils avaient plus de quatorze ans.
    Holt et Christian furent tout ce qu’ils purent pour les repousser, jusqu’au jour où l’un des officiers SS décida que leurs refus incessants étaient une preuve de haute trahison. Ils allèrent jusqu’à les accuser d’héberger des soldats alliés.
    Puis, dans une soirée aux allures tout aussi banales que les autres, Christian sursauta. Holt débarqua en furie dans la chambre commune des enfants en hurlant à tous de fuir. À eux deux, ils étaient les seuls assez vieux pour l’entendre ; des canons avaient tonné au loin, et de sinistres sifflements approchaient. Ceux qui pouvaient se transformer emportèrent les plus jeunes, Chris lui essayait tant bien que mal d’évacuer les plus lents. Mais une fois dehors, ils furent accueillis par les « tronçonneuses de la Wehrmacht ». De terrifiantes mitrailleuses qui déchirèrent alors la nuit. Les deux anciens se transformèrent, partirent à l’assaut dans un vain espoir.

    Il ne resta que lui, quand les canons fumants se turent enfin, le laissant seul dans un silence assourdissant et une odeur de fumée et de sang mêlé. Il ne put jamais comprendre pourquoi il avait survécu ni comment, mais cette première dans le monde de la guerre fut une défaite douloureuse au-delà de ses nombreuses blessures. Une profonde haine de sa faiblesse naquit ce soir là, et son cœur meurtri par la perte de sa meute s’éteignit comme un cierge sous une bourrasque.

    Des décennies durant, il arpenta toute l’Allemagne de l’ouest en changeant de nom au bout de quelques années pour passer inaperçu, passant de livreur à ouvrier en usine, à occuper le moindre emploi qu’on voulait bien lui offrir. Résigné à passer le restant de ses jours à ne vivre qu’à moitié, fuyant les régions dans lesquelles il perdait parfois le contrôle de sa bête intérieure, ou lorsque l’absence de vieillissement commençait à se remarquer. Une vie d’un parfait mutisme dans l’anonymat, n’ayant pour racine que les enseignements de son vieux maître qu’il peinait à appliquer sans un pincement au cœur en repensant à l’avant guerre. Karl deviendrait Franck, puis Maximilian, Klaus, Jakub, Fredrick... autant de fois que nécessaire. Son identité première ne revêtait plus la moindre importance. Son dernier patronyme vint d'un prénom choisi au hasard, là où le nom fut celui d'une écurie de sport automobile qui lui traversa l'esprit à sa dernière contrefaçon d'identité. Sauber.

    Ce n’est que par nécessité qu’il rejoignit un jour l’armée du pays. Dans une économie allemande en difficulté, il s’engagea pour être logé, nourri et payé. Pourtant c’est là-bas qu’il se sentit le mieux. Forcé à se bouger, à se dépasser, à devenir toujours meilleur. Mais ce n’était pas encore assez. Il sentait des limites qu’il voulait absolument franchir. D’une armée à une autre, il s’engagea alors du côté des bataillons étrangers de l’USMC, avant d’être envoyé au Camp Pendleton en Californie pour y être formé.

    Sa première expérience du combat réel fut cependant particulièrement douloureux. La pression, le stress de n’avoir sa vie que sur un fil érodait dangereusement le contrôle de sa bestialité. Mais chaque fois qu’il se sentait craquer, il se répétait une phrase totem. « Tu n’as rien à craindre, tu n’as plus rien à perdre. Tu n’as rien à craindre, tu n’as plus rien à perdre.Tu n’as rien à craindre, tu n’as plus rien à perdre... »
    Ensuite, il retrouvait doucement son calme. Des années durant.
    Avec le temps Chris décida de passer à un niveau supérieur encore ; intégrer les formations des bataillons parachutistes, spécialisés dans la traque et l’élimination de cibles prioritaires, vivantes ou mécaniques au-delà des lignes ennemies.

    Et au bout de plus de deux décennies de bons et loyaux services, le sentiment d’avoir fait le tour de ce que l’armée avait à offrir s’installa. Il décida de revenir à la vie civile aux états-unis cette fois, au moins pour un temps, quitte à retourner un jour porter l’uniforme dans le futur. Sa reconversion ne fut pas aisée, mais sa naturalisation acquise pendant le service lui ouvrit les portes des agences fédérales. Celle qui l’attira le plus au vu de ses qualités de fin limier fut l’agence des U.S Marshals dont le plus gros du métier consiste à retrouver des condamnés en cavale. Par désir de retrouver la Californie, qui l’avait accueillie à sa première arrivée sur le territoire américain, il demanda à y être assigné. C’est comme ça qu’il se retrouva dans les bureaux fédéraux de San Francisco.
    qui suis-je ?
    x Pseudo : Kenji
    x Âge : 30 ans
    x Avez vous lu le règlement : Oui !
    x Crédits avatar : Cor Leonis, par @emomim sur Twitter
    x Comment as-tu connu MS : J'ai eu un pass VIP de l'admin, eh ouais.
    x Ta fréquence de connexion approximative : Souvent sur le forum, tous les jours (ou presque) sur Discord !
    x Petit mot pour la fin? Je ne suis pas sauvage, si ?


    Redfang
    Effy Brown
    Effy Brown
    Messages : 32
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    Date d'inscription : 17/05/2021
    Age : 23
    Redfang
    Félicitations pour la validation !
    L'épreuve de la fiche est à présent terminée ! Et tu l'as réussi haut la main. Nous sommes ravis de te compter parmi nous et bien que ce soit déjà fait, nous te souhaitons la bienvenue dans nos rangs ! On espère que tu te plairas par minou (eheh j'suis obligée de la faire à chaque fois, sorry) et si tu rencontres le moindre problème, garde à l'esprit que nos MPs sont toujours ouverts alors n'hésite pas !
    Et maintenant ? Que dois-je faire ?
    En réalité, tu n'as pas vraiment d'obligations désormais. Tu es libre de faire ce que tu as envie, mais on te conseille tout de même de trouver un partenaire avec qui RP ! Concernant les recensements, tu n'as pas besoin de t'en préoccuper, nous nous chargeons de la paperasse afin de te faciliter le travail (si c'est pas bô ça !) Nous te laissons tout de même quelques liens pratiques afin que tu vadrouilles à travers le forum.


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