AccueilAccueil  
  • CalendrierCalendrier  
  • Dernières imagesDernières images  
  • FAQFAQ  
  • RechercherRechercher  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Hunters
    Edward Britton
    Edward Britton
    Messages : 5
    Dollars : 1114
    Date d'inscription : 07/11/2022
    Hunters
    À quoi bon abattre des murs pour y dresser des sépultures
    Britton Edward
    mon physique

    Edward est un grand gaillard mesurant dans les un mètre quatre-vingt, à l’allure sportive et au dos constamment droit, et au regard vif et perçant.

    Ses yeux sont d’un brun clair, clarté qui se retrouve dans ses cheveux châtain clair aux reflets blonds.

    Sur sa joue gauche, deux balafres anciennes peuvent être observées, l’une d’elle est courte mais profonde, semblant être de la peau arrachée par une éraflure de balle. L’autre, plus longue et fine au point de n’être perceptible que de près, témoigne d’une très vilaine griffure que le visage a pu effacer au fil du temps, probablement par les soins d’un bon médecin.

    Au reste, on verra ses vêtements civils, pouvant aller de la chemise au teeshirt, mais bien souvent couvert d’un plastron par-balle visible en boutique et dissimulé sous le manteau lors de ses déplacements.

    Et sous les vêtements, pour celles et ceux qui le verraient nus, bien assez de cicatrices pour raconter des faits d’arme, à base de gloire et de sanglots. La plus impressionnante d’entre elles étant la marque d’une morsure au niveau de la hanche droite.

    Malgré ses antécédents, il ne dispose pour autant aucun handicape physique actuel, le temps et les rééducations ayant portés leurs fruits depuis le temps. Ses dernières visites médicale ayant même révélé qu'il avait une très bonne vue.
    mon caractère

    Edward est un homme serviable, parlant d’une voix sombre et grave mais pourtant rassurante. Si ses allures donnent au début l’impression d’avoir affaire à quelqu’un de froid, ses interlocuteurs se rendent vite compte de sa gentillesse et de sa volonté à toujours vouloir conseiller ses acheteurs ou ses amis pour assurer leur protection.

    Il est, en effet, un protecteur dans l’âme, capable même de prendre de grands risques s’il peut sauver une vie, quitte à devoir côtoyer des personnes peu recommandables pour trouver des armes non tracées et bafouer les lois de Californie au sujet du port d’armes, ou encore affronter le danger même.

    C’est également un homme avec un sens poussé pour le détail, pouvant remarquer les petites choses, un sens qu’il combine parfaitement bien avec sa passion pour les armes pour les identifier et les reconnaître.

    Toutefois, au-delà de ces traits amicaux et bénéfiques se cachent bien évidemment des travers, et pas toujours des moindres. Edward a connu la guerre comme tous, mais plus que ça : il y a participé, et souffre d’un syndrome de stress post-traumatique, ou dit SSPT, qui le suit comme un boulet dans la vie de tous les jours.

    Si la majorité du temps, l’homme se comporte normalement, il lui arrive bien souvent de subir le trouble de l’hypervigilance. Le plongeant dans une certaine paranoïa lui faisant croire à un danger imminent contre lequel il doit se sentir préparé en portant son gilet de protection, et en gardant un couteau de combat sur lui en permanence. Ce dernier va même jusqu’à piéger sa boutique la nuit tombée pour s’assurer que rien ne pourrait entrer sans en payer le prix et fait bien de même avec l’entrée de son logis. Mais outre les mesures de surprotection, ce même état va également jusqu’à le mettre dans des états d’angoisse ou d’agressivité si quelque chose vient à le faire soupçonner quelqu’un d’être mal intentionné ou pire, un surnaturel. Rendant parfois les interactions sociales difficiles surtout lorsque les conflits s’installent. Lui imposant indirectement une vie d’incompréhension et d’isolement dont il a appris à vivre avec, s’enfermant dans sa passion.

    Et s’il on parle d’enfermement, on pourra noter qu’Edward peut bien parler des heures d’armement, de pluie ou de beau temps, il lui est très difficile de parler de ses expériences de guerre, mais plus encore, de parler de sa famille qu’il préfère oublier. Non pas pour de la rancœur ou des mésententes, mais par envie de les oublier pour résister à la tentation de vouloir reprendre contact, et de risquer de leur imposer une version de lui-même différente d’avant, en plus de devoir leur avouer des choses dont il aurait peur voire honte.

    De toute façon, pour l’homme, sa vie aurait déjà dû s’arrêter, et sa vie actuelle n’est qu’un énième sursis.


    x Dîtes nous en plus sur ses compétences personnelles : Edward Britton est avant tout un vétéran de guerre, ancien magasinier de l’armée de terre américaine qui s’était engagé pour protéger les civils des surnaturels. Il sait ainsi se servir d’armes à feu, de matériel militaire standard, et les codes des soldats.

    Mais ce qui le démarque des autres vétérans, c’est avant tout son don pour reconnaître les armes à feu, une passion flamboyante qu’il a en lui depuis toujours. Il lui suffit d’un coup d'œil rapide pour déterminer si une arme est authentique, modifiée, contrefaite, factice, bien entretenue, ou démilitarisée mais aussi pouvoir en donner le nom, le fabricant et parfois l’année de la série s’il a suffisamment creusé sur le sujet. Il a toutefois plus de difficulté avec les armes explosives ou les armes de mêlée.

    x Exprimez nous son point de vue concernant la dernière guerre : Certaines personnes diront qu’elles sont pour la guerre, certaines diront qu’elles sont contre. Ce qu’Edward leur répondrait, c’est qu’une guerre ne se désire pas, elle s’invite. On ne la connaît pas, on la subit. Mais avant toute chose, voir la guerre n’est rien comparé à la vivre.

    Ainsi pour le jeune armurier, cette paix n’est en réalité qu’une trêve, une trêve peut-être longue, peut-être courte, mais un trêve n’est pas la fin d’une guerre : la guerre est toujours en cours et ne pourra trouver son terme qu’une fois que la ville sera sereine, sécurisée et les envahisseurs repoussés, dans le cas échéant, les surnaturels.

    mon histoire


    La vie d’un homme commence par une aube d’or, se poursuit d’un temps d'éclaircies et d’orages, décline dans un crépuscule maussade aux couleurs brillantes de nostalgie, et se termine par une nuit sombre et glaciale. Et c’est par ces mots que la vie d’Edward peut se retrouver. Il n’était pas habitant de San Francisco, c’était en fait un américain ayant vécu toute son enfance dans un village du Nevada, vivant avec une famille honnête et aimable, loin des problèmes du monde.

    Dans son village, il y avait son père, sa mère, ses deux frères, sa petite sœur, et toute la communauté du bourg où tout le monde vivait avec bienveillance dans le respect de l’autre. Ce qui plaisait surtout Edward, c’était ces étés de promenade dans les canyons brûlants, où souvent son père profitait de l’isolement pour le mener avec sa fratrie dans un petit coin sympa avec un petit trou d’eau à l’abri des vents chauds, de la végétation verte, un large espace pour s’entraîner un peu au tir sur les canettes de soda que les enfants avait bu sous la vigilance impartiale du parent. Et c’est à ce moment précis que le petit homme qu’il était se demandait constamment sur le comment du fonctionnement des armes. Du pourquoi sur les gestes à avoir pour les utiliser de façon responsable pour que ces engins soient des outils de protection plutôt que des semeurs de mort.


    Car il était à savoir que les annonces d’accidents ou de fous se servant d’armes étaient nombreuses mais qu’à l’annonce officielle et assumée de l’existence des surnaturels, des villageois isolés ne pouvaient que souhaiter avoir en leur rang des personnes aptes au combat. Et c’est dans cet état d’esprit que le jeune garçon a grandi. Il était le devoir de sa vie de faire tout son possible pour protéger ses congénères et pour cela, il fallait étudier, et beaucoup lire.

    A l’école, il était un vrai prodige, connaisseur de l’histoire, et connaisseur des armes. On pouvait dire que son avenir était fort bien orienté. Il voulait faire partie de la police, ou des pompiers, il avait même envisagé d’être médecin pour sauver des vies car après tout, il avait du potentiel et savait apprendre avec une facilité déconcertante, mais l’histoire le fit bientôt trancher sur sa décision finale : on avait annoncé à la radio locale que l’état de guerre allait arriver.

    Les surnaturels dont lui avait parlé son entourage tout au long de sa vie voulaient en découdre, et pour le jeune Edward, il était évident que la chose à faire était de remplir le devoir qu’il s’était juré de suivre : protéger ses pairs, les humains. Ainsi il signa et s'engagea dans l’armée de terre pour affronter des créatures, la fleur bien malheureusement au fusil.

    Après avoir passé tous les tests et entraînements, le petit bleu qui passa les premières semaines loin de tout ce qu’il imaginait fut vite suffisamment à l’aise pour faire ascension des petits grades au fil des mois et années pour finalement se voir formé et devenir magasinier en chef à l'âge de vingt-trois ans, faisait la fierté de sa famille dont il rendait visite lors de ses permissions, admirant au passage la progression de sa sœur et de ses frères qui progressent dans les études.

    Tout allait pour le mieux jusqu’à l’affaire de Jeffrey Wayne… un monstre noctambule dont le nom ne cessait de résonner dans la base où il travaillait au cours de l’année 2048.

    Bientôt, et ce avant même que le gouverneur ne déclare la guerre officiellement aux surnaturels, les états majors commencèrent par mobiliser et déplacer les effectifs là où il y avait besoin. C’est ainsi qu’Edward fut envoyé en Californie pour défendre un point stratégique, un bunker situé dans des collines à quelques kilomètres de Los Angeles.

    C’était dans ce fort souterrain que la guerre se passa. Si les premières semaines semblaient longues et calmes, au point que certains se demandaient si on ne les avait pas mis au meilleur endroit de la guerre, bientôt, la tempête éclata et un carnage prit possession de l’endroit. En surface, les hommes tombaient comme des mouches sous les coups de lycans qui s’étaient alliés à des vampires. Les balles d’argent avaient leur effet bien que les normales semblaient bien garder une efficacité toute aussi bonne. Peut-être que la légende n’était pas tout à fait exacte ? Le fait est que la place forte qui comptait plus d’une centaine d’hommes, vit son effectif se réduire à quatre-vingt lors de la première bataille, même si elle fut remportée. Première bataille où Edward comme beaucoup d’autres avaient pu goûter au douloureux prix du sang, la vue en direct de meurtris suppliant d’être sauvés mais blessés trop gravement pour être secouru par les toubibs de la base, celle de ceux qui se sont fait tuer de sang froid sous leurs yeux, mais également les premières vies à éteindre pour sa propre survie. Car si Edward était magasinier, il restait un combattant et à bien dû sortir avec ses compatriotes pour lutter contre ces attaquants et tirer sur les surnaturels à vue tout en encaissant des dégâts. Sa balafre à la joue fut d’ailleurs sa première blessure : une balle tirée par l’arme d’un soldat mort dont s’était équipé un noctambule.

    Et cette première journée n’était qu’une première parmi tant d’autres. Les renforts venaient, les assaillants aussi. Des replis, des pertes, des pénuries occasionnelles. La base était devenu un point chaud de la guerre et l'avoir sous son contrôle était définitivement considéré comme capitale, si bien que les pauses entre les affrontements se réduisaient, et un jour, la chose la plus redoutée arriva : les surnaturels ont réussi à faire une attaque de plus grande ampleur, avec un bien meilleur équipement. Nul ne saura dire s’ils l’avaient volé, acheté sur le marché noir ou envoyé par un tier étranger partisan, mais il semblait impossible de les repousser, et c’est alors que le commandant en chef ordonna la fermeture des portes renforcées, et de mettre le bunker en état de siège.

    Tant que les surnaturels n’avaient pas accès aux salles de commandements, ils ne pouvaient pas saisir les réseaux de communication du secteur, ni recueillir de précieux renseignements sur les mouvements militaires ou les climats à prévoir qu’une telle salle pouvait avoir via le satellite avec lequel elle communiquait. Il était donc crucial que la base tienne bon jusqu’à l’arrivée de renforts. Et c’est ainsi que le véritable enfer commença.

    Les surnaturels faisaient appel à toutes leurs capacités et armements pour enfoncer les portes, et si la première semaine se passait bien, une des portes tomba le lundi de la deuxième. D’autres purent être fermées, bien entendu mais c’était toujours plus de terrain perdu qui allait emporter avec lui son lot de sacrifices vains, de matériels et de vivres dérobés et de moral chez les troupes. Et lors du samedi de cette dernière semaine, une bataille dans les couloirs fut si violente, qu’elle entraîna un éboulement, scellant les niveaux inférieurs où se trouvaient Edward et la trentaine de soldats survivants.

    Le temps devient long. Respirer n’était pas simple, le courant voyait des coupures occasionnelles par endroit, mais surtout, les vivres étaient au plus bas. Le jeune homme s’occupait toujours de vérifier et entretenir les armes de ses compères des fois que les surnaturels creusaient les gravats pour en finir dans un baroude d’honneur mémorable, mais rien pour rassurer qui que ce soit. Et puis quand il n’y avait plus rien à manger, l’officier le plus gradé, un colonel, fit part de ses inquiétudes et parla d’une sombre politique à instaurer pour la survie de la division. Il fallait se réduire au cannibalisme, d’abord sur les corps, puis sur les plus faibles qui devront accepter cet affreux compromis car le manque de courant avait coupé les contacts avec l’extérieur et que vivre loin de la surface pouvait durer.

    Cette macabre politique était bien traumatisante, mais elle l’aurait été moins si elle avait fonctionné dans l’ordre. Car en dépit d’une interdiction formelle, certains soldats ne voulant pas se nourrir de chair humaine se tournèrent vers celle des surnaturels qui avaient été tués avant l’éboulement, se disant qu’il serait plus éthique de manger ses ennemis avant son propre sang. Mais la bêtise était leur car la restriction se basait sur la crainte d’effets secondaires, et ces derniers ne manquèrent pas à se faire remarquer. Si les premiers jours, les mangeurs de surnaturels pouvaient se vanter de l’aspect tendre de la viande de lycans, ou juteux de celle des noctambules, au fil des heures, ils commencèrent par se sentir faible, affamés et assoiffés plus que d’habitude, et plus à fleur de peau qu’auparavant. Lorsque les officiers s’en sont aperçus, une tentative de sanction fut appliquée par une mise en détention et privation de nourriture, mais le mal était fait, et très vite, ceux qui avaient été tentés perdirent la raison, et devinrent des déments dont la viande morte ne suffisait plus. Le chaos s'installa alors au sein même des humains et Edward, impuissant à la possibilité de sauver ceux qui étaient fous, prit l’initiative de réunir ceux qui avaient encore leur esprit pour nettoyer la division par la force létale.

    Ceci ne fit que créer plus de colère chez le jeune homme qui porta la faute sur les surnaturels, que sans eux rien de tout cela ne serait jamais arrivé, que sans eux, il n’aurait pas été nécessaire de tuer des humains pour en sauver d’autres. Et l’envie de crier toute cette haine et d’éradiquer ces monstres sera pour lui le but qui arrivera à le maintenir en vie. Jusqu’au jour tant voulu où quelqu’un au niveau des gravats, appela au survivant : les renforts étaient là et avaient repris la base.

    Cependant le spectacle au-delà des débris ne réjouit personne et les retrouvailles se firent dans un terrible silence. Sur les cent hommes qui étaient là depuis l’état de siège, seuls huit avaient survécu soit cinq privés, deux sous-officiers et le magasinier. Et la seule vue de la scène suffit au général qui avait mené la récupération des lieux pour en deviner l’horreur que ces hommes et femmes avaient vécus. Mais ne souhaitant pas répandre une nouvelle déshonorante pour l’armée, ce dernier ne demanda aucun suivi psychiatrique et se contentera de tous les démobiliser en prétextant une cause de maladie.

    Edward finira alors la fin de la guerre dans un hôpital militaire où il restera en rééducation et en repos avec ses camarades. Mais d’aucun il ne sortira de mots à propos de ce qui s’était passé, limitant le dialogue aux mots simples du quotidien pour ceux qui osaient encore parler. Ce n’est qu’avec le caporal que l’homme de vingt-quatre ans pu retrouver un peu plus le goût de la vie en parlant de sujets divers. Ce dernier parvenait à retrouver son équilibre en parlant de sa passion pour les livres et à la bonne surprise d’Edward, l’un d’eux parla armement. C’est sur ce point qu’il s’arrangea à son tour mentalement en prenant pour objectif sa passion, et c’est suite à cela qu’il finit par devenir apte à se donner une ambition : armer les gens. Qu’ils puissent se défendre, qu’ils puissent vivre sans subir le conflit et que les surnaturels puissent comprendre que leur place n’est pas dans le monde de l’humanité, et que cesse les effusions vaines de sang.

    Alors une fois la guerre sur la fin, le jeune ex-magasinier quitta son hôpital et ouvrit un magasin d’armes, un arsenal pour le juste, une armurerie pour le peuple. Mais ne chercha aucunement de renouer avec sa famille pour ne pas leur faire honte en parlant de ce qui s’est passé car pour lui, les chances de s’en être sorti étaient telles que lui-même ne croit pas y avoir réchappé. Ainsi il vit en solitaire, vendant des armes aux clients, reprenant une vie presque normale à quelques angoisses et colères près.

    Mais bien vite, un étrange habitué s’intéressa à lui et rendit bien trop de visites. A vrai dire, pour l’homme, c’était du pain bénit car la Californie n’était pas le meilleur état pour vendre un flingue ou une carabine. Mais au fil des conversations, l’étranger commença à passer des commandes plus précises… et plus particulières en dépit de la fin de la guerre. C’est ainsi qu’Edward prit connaissance du clan des Hunters. En effet, de par sa carrière militaire l’ex-magasinier semblait être une recrue de choix, d’autant que sa participation à des conflits réels le rendait encore plus intéressant car ils sauraient qu’un gaillard comme lui allait avoir au fond de lui la haine des surnaturels, si nécessaire pour cette noble cause.

    Peut-être lui aurait-on attribué un haut rang ? Mais pour Edward, s’il est en accord total avec les convictions des Hunters, ce dernier cependant déclina tout rôle, préférant donner les armes plutôt que les utiliser, et ne participer qu’en cas d’urgence.

    Quelque fut l’étranger, il était en tout cas clair pour lui que l’armurier avait besoin de temps et avait surtout remarqué ses séquelles. Ainsi il ne lui imposa pas d’obligations autres que d’aider tout hunter qui rendrait visite à son établissement et de signaler au clan tout client non humain qu’il remarque. Ainsi va l’histoire d’Edward, le reste, l’avenir nous le dira.


    qui suis-je ?
    x Pseudo : Edward Britton
    x Âge : 28 ans
    x Avez vous lu le règlement : Oui
    x Crédits avatar : Gavin du Date Sim, Mr Love par Papergames
    x Comment as-tu connu MS : Une amie m'en a parlé blblblblbl
    x Ta fréquence de connexion approximative : une fois à deux fois par semaine
    x Petit mot pour la fin?J'aime les oeufs


    Redfang
    Effy Brown
    Effy Brown
    Messages : 32
    Dollars : 2231
    Date d'inscription : 17/05/2021
    Age : 23
    Redfang
    Félicitations pour la validation !
    L'épreuve de la fiche est à présent terminée ! Et tu l'as réussi haut la main. Nous sommes ravis de te compter parmi nous et bien que ce soit déjà fait, nous te souhaitons la bienvenue dans nos rangs ! On espère que tu te plairas par minou (eheh j'suis obligée de la faire à chaque fois, sorry) et si tu rencontres le moindre problème, garde à l'esprit que nos MPs sont toujours ouverts alors n'hésite pas !
    Et maintenant ? Que dois-je faire ?
    En réalité, tu n'as pas vraiment d'obligations désormais. Tu es libre de faire ce que tu as envie, mais on te conseille tout de même de trouver un partenaire avec qui RP ! Concernant les recensements, tu n'as pas besoin de t'en préoccuper, nous nous chargeons de la paperasse afin de te faciliter le travail (si c'est pas bô ça !) Nous te laissons tout de même quelques liens pratiques afin que tu vadrouilles à travers le forum.


    Permission de ce forum:
    Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum